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Les Sables-d’Olonne Vendée Globe. NOËL avant l’heure pour le « Club des Cent » qui aura pignon sur chenal le 10 novembre 2024


Les Sables-d’Olonne Vendée Globe. NOËL avant l’heure pour le « Club des Cent » qui aura pignon sur chenal le 10 novembre 2024

Ils seront sur une tribune de 3ème catégorie…. mais une belle tribune quand même !
Oui, car les deux lieux les plus enviés restent malgré tout le ponton du départ et une place à bord d’un bateau dans la baie.
Imaginez une place d’exception au bord du chenal pour voir défiler les 40 skippers du Vendée Globe le 10 novembre 2024 !

C’est ce que propose la Ville des Sables-d’Olonne – par tirage au sort – pour 100 personnes qui auront donc pignon sur chenal. Un vrai cadeau de Noël avant l’heure.
La Ville, depuis les travaux pour rénover la Villa Charlotte (ex-Villa Tertrais-Chailley) située à La Chaume et son jardin, bénéficie désormais d’un belvédère sur le chenal qui va faire des heureux, d’abord durant le départ du Vendée Globe, mais aussi plus tard pour apprécier la vue sur le chenal, sur une partie de la baie ou d’autres événements.

Belvédère Villa Charlotte – Les Sables-d’Olonne

Le Tirage au sort permettra de se voir offrir 2 billets pour la « Tribune-Belvédère » devant la Villa Charlotte.
Il y aura donc 50 bénéficiaires.
Pour participer, cliquez sur le lien ci-dessous.
Attention, pour que les chanceux puissent organiser leur déplacement, l’inscription a lieu à partir du 16 octobre 2024 mais s’arrête le dimanche 27 octobre 2024 à 23h59.
Un formulaire est également disponible dans les accueils de la mairie et mairies annexes des Sables-d’Olonne.
Le tirage au sort aura lieu le lundi 28 octobre 2024. Les gagnants seront contactés par email.

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 



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Les Sables-d’Olonne Vendée Globe. 18 octobre 2024 : tous les skippers sont arrivés au ponton du Vendée Globe


Tous les marins ont amarré leur Imoca au ponton du Vendée Globe.
Les derniers arrivés ont remonté le chenal ce matin. Désormais, place à trois semaines de partages et de fêtes au sein du Village, avant le grand départ le 10 novembre 2024.

Sept heures du matin, ce vendredi, sur les pontons de Port Olona.
Dans 22 jours, au même endroit, tout sera particulier. Ce sera le temps du dernier réveil, du dernier stress, du dernier lever de soleil depuis la terre et des embrassades !
Mais pour les skippers, c’est encore loin ; tous savourent encore un peu le répit qui les sépare du Jour-J.


« Ça fait forcément quelque chose d’être là »
Le ponton était déjà bien rempli – une grande partie des marins était arrivée la veille – et il l’est désormais un peu plus.
L’absence de vent et la mer plate ont grandement facilité les manœuvres dans le port, même si «
ce n’est pas évident de remonter le chenal de nuit », dixit Yoann Richomme (Paprec Arkéa).
Les membres de la direction de course étaient là pour guider les marins, les aider dans ces manœuvres toujours délicates afin de bien sécuriser les bateaux.
Les visages restent concentrés jusqu’à ce que les bateaux soient bien amarrés.
Puis, c’est le sentiment du plaisir simple de faire partie de cette grande fête de la course au large.
«
On a la tête dans le guidon depuis des mois, ça fait forcément quelque chose d’être là », apprécie Paul Meilhat (Biotherm).
Un constat partagé par Romain Attanasio (Fortinet-Best Western) qui a dû batailler après avoir démâté en septembre : «
C’est vrai que ça n’a pas été simple, confie-t-il, bonnet vissé sur la tête. D’habitude, on commence à stresser quand on arrive. Là, ça a commencé il y a déjà quelques semaines. 


« C’est déjà une première victoire »
La lune est toujours visible au travers des haubans même si le jour se lève.
Il est 8 heures, Maxime Sorel (V andB – Monbana – Mayenne) arrive à son tour. Le Malouin rêve de sucré et de pain au chocolat mais pas seulement : « 
remonter le chenal, ça m’a rappelé ce que j’avais ressenti le 30 janvier 2021 (jour de son arrivée), la forte émotion d’être là après avoir fait un tour du monde ».
Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance) a lui aussi le sourire. Il se plaît à être situé tout au bout du quai, « 
on est tranquille comme ça ». « Bien sûr que je suis heureux d’être là, confie-t-il. Ça fait trois ans qu’on travaille sur ce bateau. Être là, c’est une belle récompense pour toute l’équipe ».
Il y a de la satisfaction également dans la voix de Violette Dorange (Devenir) : « 
j’ai pu profiter du convoyage et de l’arrivée au port avec des proches ». La navigatrice de 23 ans rappelle « qu’être ici, c’est déjà une première victoire ». L’atmosphère est un cadeau : du calme, le lever du soleil et la fraîcheur de l’automne.
Un peu plus loin, Yann Eliès, deux Vendée Globe au compteur et skipper remplaçant de Paprec Arkéa, sait à quel point la simplicité de cette matinée-là compte : « C’est une journée sympa pour les équipes et les skippers, confie-t-il. Tu arrives, tu prends tes marques, tu profites du fait que les pontons ne sont pas encore bondés ». Un moment bienvenu après tout le travail réalisé. « Ils bossent depuis quelques années mais ont tous l’impression que ça fait dix ans qu’ils préparent ce Vendée Globe », assure Yann en pensant aux membres de chaque équipe.
Ça valait bien une journée de soleil et un peu de calme avant de plonger dans l’effervescence du village.

 


Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

(avec communication)

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