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Vendée Globe – FLASH Démâtage pour Conrad Colman !
Vendée Globe – FLASH Démâtage pour Conrad Colman !
A 23h00 heure française ce vendredi 10 février, Conrad Colman a joint son équipe pour prévenir du démâtage de son Imoca « Foresight Natural Energy ». Le skipper n’est pas blessé, il avait une voix claire au téléphone au moment de l’appel. Il a déjà libéré le gréement (mât et grand-voile) et a réussi à sauver la bôme.
Il évoluait dans un vent de nord-est de 30-35 noeuds sous J3 et 3 ris dans la grand-voile au moment de la casse. Il est à moins de 300 milles des côtes portugaises. Toute l’équipe de Conrad est mobilisée pour l’aider à imaginer les solutions possibles pour permettre au skipper néo-zélandais de rallier la terre sans assistance.
C’est évidemment une très grande déception pour Conrad qui pointait en 10ème position au classement de 22h00 (HF). Il a bouclé 97% de son premier Vendée Globe et n’est qu’à 739 nm des Sables d’Olonne.
Conrad Colman (Foresight Natural Energy) avait dû faire face à du très gros temps. Le skipper néo-zélandais devait maintenir une vitesse élevée pour passer devant la zone de vents très forts (50 à 55 nœuds) avec des vagues de 9 à 10 mètres. Les conditions devaient ensuite être plus confortables dans la soirée en se rapprochant des côtes portugaises (au moment de la casse, il était à 300 milles des côtes). Joint hier matin, Conrad se disait alors d’attaque pour affronter le gros temps : « Malgré le fait que je vais subir la plus méchante dépression, tout va bien. Ca va être très inconfortable. Le bateau est aussi prêt que possible. » Apparemment, la dépression a été plus dure que prévue et le mât, fragilisé, n’a ensuite pas tenu!
Philippe Brossard-Lotz
Le Reporter sablais
(avec communication)
Conrad Colman (Foresight Natural Energy) avait dû faire face à du très gros temps. Le skipper néo-zélandais devait maintenir une vitesse élevée pour passer devant la zone de vents très forts (50 à 55 nœuds) avec des vagues de 9 à 10 mètres. Les conditions devaient ensuite être plus confortables dans la soirée en se rapprochant des côtes portugaises (au moment de la casse, il était à 300 milles des côtes). Joint hier matin, Conrad se disait alors d’attaque pour affronter le gros temps : « Malgré le fait que je vais subir la plus méchante dépression, tout va bien. Ca va être très inconfortable. Le bateau est aussi prêt que possible. » Apparemment, la dépression a été plus dure que prévue et le mât, fragilisé, n’a ensuite pas tenu!
Philippe Brossard-Lotz
Le Reporter sablais
(avec communication)